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Filmzyklus Edgar Hagen
"Meine Filme sind dann geglückt, wenn sie kontrovers sind und die Kraft haben, Prozesse in Gang zu setzen. Dafür bin ich bereit, recht weit zu gehen und die notwendigen Auseinandersetzungen zu führen. Der Film ist im besten Fall Teil eines gesellschaftlichen Prozesses, und ich freue mich darüber, wenn die Geschichte eine Eigendynamik erhält. Die Gesellschaft muss bei wichtigen Themen laufend Kompetenzen zurückgewinnen."
Edgar Hagen
MARKUS JURA SUISSE - DER VERLORENE SOHN (Edgar Hagen)
Markus Jura Suisse zeigt uns, worauf sich einer einlässt, wenn er sich verweigert. Wie die Gesellschaft zurückschlägt, und wie er trotzdem nicht resigniert, sondern provokant sein Leben weiterlebt… Markus’ Konsequenz spiegelt sich in der konsequenten Haltung des Filmers.
Paul Riniker
Un beau jour, le peintre Markus Schneider quitte sa maison, sa femme et ses six enfants et commence à mener une vie errante. Il renonce à l'argent. à ses papiers d'identité et à un domicile fixe. Il se nomme désormais «Markus Jura Suisse». Depuis bientôt vingt ans. il voyage en Suisse et essaie de nouer de nouvelles relations avec les gens qu'il rencontre. Chacun de ses séjours est signalisé par un graffiti provocateur pour nos espaces publics. Ce graffiti, toujours indique, est devenu sa signature: il est formé de trois cercles concentriques entourés par la date correspondante. Ce film d'Edgar Hagen accompagne Markus en voyage dans un pays «hautement développé» et pose la même question que ce voyageur extraordinaire, à savoir: «Qu'est-ce qui rend la vie digne d'être vécue».
ZEIT DER TITANEN (Edgar Hagen)
ZEIT DER TITANEN schafft etwas, was nur wenige Dokumentarfilme fertigbringen. Er vermittelt eine Stimmung wie ein Spielfilm und bleibt dabei doch ganz nüchtern und sachlich. Wenn ganz am Anfang des Films das eiserne Tor zum grossen Stollen aufgestossen wird, kommt einem das vor, wie wenn die Türe zum Berg aufginge. ZEIT DER TITANEN hat mythische Qualitäten, erinnert als Pionierfilm seltsamerweise an die grossen Western und bleibt gerade deshalb weit über den Abend hinaus in Erinnerung.
Michael Sennhauser, DRS 3
Between 1950 and 1966 thousands of men moved up to the Alps in the Valais, a natural landscape of rocks and ice. They built a civilisation limited in time: villages made out of barracks on the cliffs of the mountains similar to Tibetan cloisters. They blew up a 160 km long tunnel labyrinth into the rocks, beneath the Matterhorn and several other gigantic mountains, through which the water from 35 glaciers runs to the highest dam of the world, the Grande Dixence. Miners and intellectuals like the writer Maurice Chappaz travelled again through this immense dark abyss in search for the places, where overcrowded barack villages stood and where we can only find leftover ruins today. It was here, where they grew beyond themselves. The confrontation with their own psychological and physical boundaries towers above the life of these men. They mastered lifecrisis and escaped the poverty of their families. Here they found a future and lifelong friendships developed, but they also met with loneliness, sickness and death.
Entre 1950 et 1966, des milliers d'hommes partent dans la haute montagne valaisanne, dans un paysage primitif de rochers et de glace. Ils y érigent une civilisation passagère. Depuis là, ils dynamitent la roche sous le Cervin et d'autres sommets imposants pour creuser un labyrinthe de galeries long de 160 km afin d'amener l'eau de 35 glaciers vers le barrage le plus élevé du monde: la Grande Dixence. Des mineurs et des intellectuels tels que l'écrivain Maurice Chappaz refont le parcours à travers cet interminable gouffre noir à la recherche des lieux où se dressaient autrefois les baraquements surpeuplés dont aujourd'hui, seules quelques ruines témoignent encore. C'est ici qu'ils se sont surpassés eux-mêmes. La confrontation avec leurs propres limites physiques et psychiques marque à jamais la vie de ces hommes. Ils ont surmonté des crises existentielles et échappé à la misère de leurs familles. Ici, ils ont trouvé leur avenir et des amitiés pour la vie, mais également la solitude, la maladie et la mort.
TOUMAST - ENTRE GUITARRE ET KALASHNIKOV (Dominique Margot)
Die Tuaregs sind seit dem Einmarsch der Franzosen vor rund hundert Jahren einen weiten Weg gegangen, ein Weg gezeichnet von Unterdrückung, Dürrezeiten und Rebellionen. Trotzdem gelten sie heute weltweit als eines der besten Beispiele wie sich ein Nomadenstamm durch Kultur, Ausbildung und Musik in der Moderne seinen Platz schaffen will. Und dies als islamisches Volk in einer der unwirtlichsten Landschaften der Welt: die Sahara.TOUMAST - ENTRE GUITARRE ET KALSHNIKOV stellt die Frage wie es dazu kam, dass nach Jahrzehnten Unterdrückung und bewaffnetem Kampf die Tuaregs ihre Waffen niederlegten und sich heute mit politischen und kulturellen Mitteln für ihre Rechte einsetzen?
Kalashnikovs were burned in public in Timbuktu in 1996. At that time the Flame of Peace stood as a symbol for the end of the Tuareg rebellion that was suppressed by means of bloody massacres. The rebels then put down their weapons. The government made promises and the exiled families returned from Mauretania, Algeria and Burkina Faso. Ever since, tradition and weaponry have stood in direct competition with each other in the fight for rights and for the survival of these people who have enjoyed their freedom for centuries in one of the most inhospitable regions of the world, the Sahara.
En 1996, des kalachnikovs furent brûlées en public à Tombouctou. La «flamme de la paix» était à l'époque le symbole de la fin de la rébellion des Touaregs, qui avaient été réprimée lors de massacres sanglants. Cette année-là, les rebelles déposèrent les armes. Cette année-là, le gouvernement ayant fait des promesses, les familles qui avaient fui à l'étranger quittèrent la Mauritanie, l'Algérie et le Burkina Faso pour rentrer chez elles. Dans le combat pour les droits et pour la survie mené par ce peuple, qui a avait trouvé durant des siècles sa liberté dans l'une des régions les plus inhospitalières du monde, le Sahara, la culture et les armes sont depuis lors en concurrence directe.
TAPIS ROUGE (Frédéric Baillif)
Ein Sozialarbeiter trifft in einem Lausanner Vorort auf eine Gruppe Jugendlicher. Er hilft ihnen dabei, ein Drehbuch zu schreiben, und unternimmt alles Menschenmögliche, um ihren Traum wahr werden zu lassen. Ein Roadmovie in Richtung Filmfestspiele von Cannes, das alle Gewissheiten eines Sozialarbeiters und einer Gruppe orientierungsloser junger Leute in Frage stellt.
In the suburbs of Lausanne, a group of kids decide to make a film with the help of a social worker. They write a screenplay and then, head all the way to the Cannes Film Festival in search of a producer. The film is a journey into another world. The world of a social worker whose enthusiasm will lead to a very tricky situation. A journey that will shake his beliefs and values.
Dans un quartier des hauts de Lausanne, des jeunes écrivent un scénario avant de prendre la route vers Cannes pour réaliser un rêve: décrocher auprès d’un producteur la signature de leur court-métrage. Accompagnés du travailleur social du quartier, ils vont vivre une expérience unique et mouvementée. Le film nous emmène à la rencontre d’un éducateur de rue embarqué dans une histoire compliquée. Un voyage qui remettra en question toutes ses certitudes.