Der Ruf der Sibylla
Der Ruf der Sibylla
CH 1984 121'
Regie: Clemens Klopfenstein
Drehbuch: Clemens Klopfenstein, Serena Kiefer, Dieter Fahrer, Max Rüdlinger, Franz Rickenbach
Kamera: Clemens Klopfenstein
Ton: Iwan Seifert
Schnitt: Franz Rickenbach
Produktion: Ombra-Films
Mit: Christine Lauterburg, Max Rüdlinger, Hans Gaugler, Thomas Schacht, Hans Gaugler, Danilo Galli, Norbert Klassen, Jenny Rausnitz, Stefan Kurt, Valentina Croce, Fabio Cantalupo, Philip Schaad, Marianne Derendiger
Pass:Der Ruf der Sibylla (D)
720p,540p Deutsch,Italiano UT Deutsch
Pass:Der Ruf der Sibylla (E)
UT
Pass:Der Ruf der Sibylla (F)
720p,540p Deutsch,Italiano UT Français
L’artiste peintre Balz, coincé en Italie et rongé par la jalousie, importune l’actrice Clara par téléphone au sujet d’un amant. Balz souhaite tout le mal possible à son rival − et voici que celui-ci ne tarde pas à tomber malencontreusement sur le nez. C’est lorsqu’il parvient à faire taire au gré de ses besoins son amie, qui a entre-temps débarqué chez lui et ne cesser de jacasser, en prononçant un souhait tout simple et très compréhensible, que ce vacancier amoureux de l’Italie se rend compte que c’est une eau-de-vie qui aide ses maléfices à se réaliser. Mais l’amie découvre elle aussi une potion magique qui lui donne la force de transformer les choses, par exemple de changer le jour en nuit. Elle prend plaisir à utiliser cette faculté quand Balz est au volant.
Un jeune couple moderne se trouve entraîné dans un conte. Une tentative d’aller plus loin sur un chemin engagé.
Clemens Klopfenstein
Klopfenstein a tourné une histoire fantastique hilarante, dans laquelle les deux acteurs sont tout particulièrement convaincants, car ils mettent en scène avec un grand charme irrésistible et beaucoup d’ouverture d’esprit des problèmes de couple plus banals que ne le laisse peut-être penser l’idée des potions à maléfices
Züri-Tipp
Une comédie déjantée [...] un jeu bizarre entre la réalité et le monde des souhaits, les bons et les mauvais rêves, sur les traces des prestidigitateurs cinématographiques que furent Méliès et Rivette.
Berliner Morgenpost''